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Osez la prépa !
Une classe prépa ? Mais ce n'est pas pour moi ! ...

Je ne suis pas assez :
 
Travailleur. Il paraît qu'on bosse comme des fous en prépa, je ne pourrai pas suivre. Surtout que ce n'est pas vraiment l'idéal chez moi pour travailler en toute tranquillité. 
On parie ? "Travailler" n'est pas un gros mot ! Quand on est bien encadré comme en prépa, qu'on y découvre de nouvelles matières, qu'on ne fera plus celles qu'on n'aimait pas trop jusqu'au bac, qu'on découvre sous un meilleur jour celles qu'on croyait connaître (démontrer et comprendre au lieu de seulement tout apprendre par cœur) et qu'on se prépare à une excellente carrière de cadre supérieur, travailler peut être très stimulant !
N'oubliez pas qu'on n’a rien sans efforts, pensez aux grands champions sportifs. Et croire qu'on peut réussir à l'université ou en prépa intégrée sans rien faire est une illusion ! En gros, pour atteindre un certain niveau, il faut fournir la même quantité de travail quelle que soit la filière choisie. Alors autant s'engager dans celle où l'on sera le mieux soutenu.
 
Brillant. Tout le monde le dit autour de moi, il faut être très fort pour faire une prépa. Et puis jamais aucun élève de mon lycée ne s'est engagé dans cette filière, ce n'est pas moi qui vais commencer.
On parie ? Beaucoup d'élèves s'autocensurent et si personne n'ose jamais être le premier à s'inscrire en prépa, ça peut durer longtemps ! Ce qui compte c'est qu'au moins vous compreniez bien le cours de vos professeurs actuels. En prépa cela sera sans doute un peu plus difficile mais, ayant moins de matières à étudier qu'en Terminale, vous aurez le temps de vous concentrer davantage. La structure même des classes préparatoires vous y aidera : la majorité des professeurs n'ont la responsabilité pédagogique que d'une classe (la vôtre) et sont donc naturellement à votre disposition pour vous conseiller et vous encadrer ; les deux ou trois interrogations orales hebdomadaires sont de bons entraînements qui vous permettent de cerner rapidement vos faiblesses ; la grande majorité des élèves se serrent les coudes car ils savent qu'ils réussiront mieux tous ensemble.
Méfiez-vous enfin des idées reçues, surtout quand elles datent de plusieurs dizaines d'années. Les critères ont changé depuis puisque le nombre de classes préparatoires a doublé, qu'il y en a désormais pour la grande majorité des bacheliers et que les programmes ont été plusieurs fois modifiés.
 
Ambitieux. Si j'obtiens mon bac ce sera déjà une première dans ma famille. Je ne veux pas prendre de risque, alors je préfère m'engager dans une filière supérieure courte et puis après on verra.
On parie ? On ne prend pas de risque en classes préparatoires. La sélection se fait à l'entrée et si on est pris c'est qu'on va réussir : il y a beaucoup de places dans les Grandes écoles et elles sont très nombreuses (il n'y a pas que Polytechnique !). Pour cela il suffit de « jouer le jeu » : être sérieux en classe et fournir le travail demandé. C'est pourquoi le taux d'échec y est le plus faible de tout l'enseignement supérieur. De plus, si cela devait mal se passer, des conventions existent entre les prépas et les universités, certaines écoles recrutent en fin de première année, des IUT acceptent des intégrations en cours d'année (février en général). Les fameux ECTS, points attribués aux étudiants chaque fois qu'ils réussissent une année d'enseignement supérieur, sont aussi accordés aux élèves de classe préparatoire afin de leur permettre de postuler plus facilement aux formations qui les intéressent, même à l'étranger. Tout est donc fait pour que l'élève de prépa puisse, au besoin, se réorienter en douceur. Et surtout, les plus grands espoirs vous sont permis ! C'est en effet à l'issue des classes préparatoires que les Grandes écoles recrutent le plus d'élèves. C'est ainsi que vous pourrez vous dire que vous avez réussi vos études le mieux que vous pouviez espérer : pas de regret qui vous poursuivrait toute votre vie professionnelle.
 
Cultivé. Même si j'ai toujours eu de bonnes notes, je suis dans un lycée de mauvaise réputation, je ne ferai pas le poids face à ceux qui fréquentent les établissements les plus cotés. Et puis je n'ai pas lu des tonnes de livres...
On parie ? La réputation d'un établissement scolaire est plus souvent liée à l'ambiance qui y règne qu'aux capacités de ses élèves. On trouve partout de futurs bons bacheliers.
Pour les futurs scientifiques, si une bonne culture générale est un plus, vous aurez l'occasion de la parfaire en prépa grâce aux documents scientifiques que l'on vous apprendra à analyser. Vous aurez aussi une initiation à la recherche en préparant votre TIPE, sorte de super TPE de Première.
 
Riche. Ma famille ne peut pas m'entretenir indéfiniment. De plus, ça doit coûter cher la prépa puisque le taux d'encadrement y est très important. Et trois ans d'école ensuite !
On parie ? Votre famille devra bien sûr encore vous nourrir et vous loger mais les études dans une prépa ouverte comme la nôtre sont à un prix tout à fait raisonnable. N'hésitez pas à postuler à une prépa près de chez vous, les programmes et les horaires y sont les mêmes qu'ailleurs et vous économiserez en frais et temps de transport. Enfin les bourses d'enseignement supérieur profitent à un étudiant de CPGE sur trois, même si ce n'était pas le cas en Terminale (critères moins restrictifs dans le supérieur que dans le secondaire). Renseignez-vous. 
Pour ce qui concerne les grandes écoles, elles sont pour la plupart gratuites ! Pour les quelques rares payantes, les banques ne se feront guère prier pour vous prêter de l'argent à très bas taux d'intérêt, emprunt garanti par l'État, que vous ne rembourserez qu'après vos études, quand vous aurez un bon salaire. Notons aussi qu'il existe des formules d'alternance en entreprise qui peuvent vous assurer un revenu. Enfin certaines écoles, et pas des moindres, donnent un salaire à leurs étudiants.
 

Alors donc finalement, moi aussi je peux aller en classe préparatoire !
 

Et oui. Méditez cette pensée de Sénèque :

 

« Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles. »

 

(Source : www.prepas.org)


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